Chapitre 1
Lieu: à la gare de Lyon, Paris
Date: janvier 1944
La mère de Julien fait ses adieux à Julien (et François).
Elle lui promise de le visiter dans trois semaines (à la internat).
Elle promit aussi d′écrier souvent, mais Julien s′en fout.
Quand il escalade la portière, il retrouve des camarades.
Le frère de J., François, fume.
Chapitre 2
La scène joue dans le train.
Les garçons font des bêtises, Julien pleure.
Chapitre 3
Lieu: Ile-de-France (ou le convent se trouve)
Les garçons arrivent à la gare. Le père Michel va attendre leurs
(à la gare).
Ils entrent dans convent.
Chapitre 4
La scène se passe au dortoir. J. sort des son sac de la confiture.
Il y a quelques garçons qui regardent une ,,photo\".
Tout-à coup les moines arrivent avec trois nouveaux garçons.
Quelques garçons font des plaisanteries avec Bonnet.
J. et Bonnet se mettent à parler.
Chapitre 5
Lieu: la salle de bains
Les garçons dansent d′un pied sur l′autre, parce qu′il est très froid.
B est surpris, parce qu′il n′y pas d′eau chaude.
Chapitre 6
Lieu: à la chapelle
Tous les élèves sont à la chapelle. Le père Jean lit l′évangile.
Boulanger oscille et finalement il tombe.
Après ils étonnent le chant offertoire. Francois trouve, qu′il faut du cavados pour
ne froid pas.
Chapitre 7
Lieu: à la classe
J. lit un poème de Charles Péguy.
M. Tinchaut, le professeur, demande Julien qui était Charles Péguy.
(Il était un héros francais de la première guerre mondiale et un écriture.)
Après la leçon ils font leur devoirs.
J. voit B., qui est nerveux, parce qu′il y a un soldat allemand devant
le collège. J. se pique avec son compas.
Chapitre 8
Lieu: récréation, dans la cour
Les élèves font un jeu brutale.
Quatre garçons de la quatrième classe font un rituel avec Bonnet.
J. et quelques garçons se battent et jouent comme chevaliers.
Chapitre 9
Lieu: à la cuisine
J. est à la cuisine pour mettre un sparadrap sur sa plaie.
Joseph, qui travaille à la cuisine a une tractation avec un des grands.
Après ça, Joseph se mettre à éplucher des patates.
Chapitre 10
Lieu: réfectoire
Tout le monde mange. Il y a quelques-uns, qui ont quelque chose sur
leur panier et quelques-uns qui n′a pas.
Pendant que les élèves mangent, un élève lit de la bible.
A la fin, Joseph a des biscuits avec des vitamines.
Chaqu′un prend un ou deux.
François arrête et jette Joseph à terre.
Julien court avec la confiture promis après François.
Chapitre 11
Lieu: dans une petite basse- cour
Joseph et J. font la marché noire.
Chapitre 12
Lieu: à la classe (de maths)
M. Guibourg, le professeur demande un problème mathématique.
Bonnet sait la réponse. Quand il va au tableau noir, un élève avance
le pied et fait Bonnet trébucher.
Bonnet résout le problème avec aisance.
Tout à coup, une alerte lointain. Alors toute l′école va à l′abri.
Chapitre 13
Lieu: à la cave du collège
Tout l′école est à la cave et le père Michel essai de mettre de l′ordre
dans la confusion.
M. Guibourg veut continue à faire de mathématiques.
Julien a un lampe de poche et il lit ,,les trois mousquetaires\".
A la fin, père Michel commence un ,,Je vous salue, Maria\".
Chapitre 14
Lieu: au dortoir
Les élèves ont fini la prière du soir.
Ils ont fait «le lit en portefeuille», alors Bonnet ne peut pas dormir.
La couverture n′est pas assez longue. Les autres le voient et rirent.
B. demande à J. s′il a fait ça, mais il ne répond pas.
A la nuit, J. ouvrit ses yeux. Il y a une large tache humide au milieu
du drap. Il grelotte et essaie de dormir.
A la fin B. se réveille et regarde à Julien.
Chapitre 15
La classe fait de gymnastique. Parce qu′il est très froid, il y a
quelques qui ont des passe-montagnes (= Pudelmützen).
Une jeune fille attrayante arrive sur un vélo à la cour. Elle manque
de tomber et les élèves voient leur cuisses.
A la fin elle va vers la salle de musique.
Chapitre 16
la salle de musique
Julien joue le piano mal et lentement. La femme de la bicyclette se fait les ongles (die Fingernägel). Julien dit, qu′il n′aime pas la musique et que c′est sa mère qui lui force à faire du piano. L′heure est finie. Bonnet entre et joue la pièce avec aisance (Leichtigkeit). Derrière la porte, Julien pense ,,quel lèche-cul\".
Chapitre 17
lieu: à la salle de classe
Avant le dîner, les élèves font leur devoirs. Le père Hippolyte prie et Julien trie (einordnen) ses nouveaux timbres.
Les autres garçons font des bêtises.
En-ce moment, le voisin de Bonnet lui arrache cet feuille et le passe de main à main. Bonnet se lève pour courir après sa lettre. Le père dit Bonnet de retourner è sa place. Julien lit la lettre et quand un élève parle au père, il doît redonner la lettre.
Chapitre 18
lieu: au bureau de père Jean
Julien confesse. Le père lui dit prie trois ,,Je vous salue, Marie\" quand la téléfone sonne.
C′est une voix excitée qui dit le père d′avoir précaution.
A la fin le père exhorte (ermahnen) Julien d′être gentil avec Bonnet et les autres deux nouveaux.
Chapitre 19
lieu: à la petite ville
Quelques classes vont au établissement de bains-douches.
Ciron, Legard, Boulanger et Babinot parlent politique. Ils disqutent qui est plus dangereu; les Allemands, les communistes ou les juifs.
Julien et Bonnet bavardent des Trois Muquetaires et plus tard Julien demande à Bonnet que-ce qu′il veut faire en futur.
Chapitre 20
lieu: au établissement de bains-douches
Il y a quelques soldats allemands das les vestiares (Umkleideraum) qui parlent fort et chahutetent (Unfug treiben).
Les élèves restent initimidés jusque les soldats sond allés. Un élève s′assied à côté de Bonnet et lui demande s′il ne fait pas la communion. Bonnet fait oui et dit s′il parce qu′ il est protestant.
Chapitre 21
lieu: au village
Les élèves sortentdes bains-douches. Tout-à-coup un jeune homme sort tranquillement. Il ouvre son manteau et on voie une étoile jaune.
Parce qu′ils ont froid ils rentrent au pas de course.
Chapitre 22
lieu: au dortoir
A la nuit, Julien ouvre ses yeux et voie Bonnet qui a des bougies avant lui et qu′il fait un litanie.
Chapitre 23
lieu: dans la cour d′école
Les jeunes font du sport quand quelques miliciens entrent. Le père Jean proteste mais sans succès. Alors l′heure est fini et Moreau et Bonnet accompagné par père Michel disparaissent par une petite porte.
Joseph dit Julien qu′il y a des réfractaires au collège.
Chapitre 24
lieu: A la salle de classe
Monsieur Tinchaut rend les résultats d′épreuve. Bonnet et père Michel entrent. Le père chuchote quelques chose à l′oreille de Tinchaut.
Puis il s′en va. Bonnet s′assied et il a un treise et demie. Julien a un treise.
Chapitre 25
Lieu: A l′école
Joseph fait le marché noire. Quand le courrier arrive, Julien court chercher sa lettre (sans payer ses billes = Murmeln)
Chapitre 26
lieu: dans le dortoir
Julien est assis sur son lit et lit sa lettre.
Après il ouvre le casier de Bonnet. Il fouille dans les vêtements et trouve un photo de lui avec ses parents. Puis il ouvre un livre et lit le nom de famille. Parc qu′il a été raturé, il le lit sur la page opposée à l′envers. Le vrai nom de famille est Kippelstein.
Tout-à-coup une cloche sonne et des élèves entrent. Un moment avant Julien a replacé le livre vivement.
Chapitre 27
lieu: à la classe
Toute la classe sans Bonnet écrit une dictée de grec. julien écrit très vite, parce qu′il peut chaque fois lire quelques phrases de Trois Mousquetaires après écrire.
Bonnet dessine un aviant minutieusement.
Après le cour s est fini, touts les étudiant ruent vers la porte. Sans Julien et Bonnet.
Bonnet et Julien parlent. Julien veut savoir pourquoi Bonnet ne fait pas de grec. Après il demande Bonnet de sa famille.
Chapitre 28
lieu: Au cour du collège
Les élèves jouent pendant le récréation. Ils essayent d′arracher des foulards. François et des autres garçons discutent philosophie et fument. Julien les rejoins et tire une bouffée.
F. demande J. de passer une lettre à Mme Davenne. J. ne veut pas et il veut savoir que-est c′est que c′est un youpin.
F. donne les Mille Et Une Nuits à J. Après ils écoutent des cris. Quelques élèves ont une tractation avec Joseph.
Chapitre 29
lieu: A la forêt
Les jeunes ont une patrouille scoute. Il y a deux groupes. La groupe de J. et B. est encore à fausse piste. J. et B.
sont les derniers. Tout à coup l′autre groupe attaque. Ils encerclent tous sauf J. et B. Les deux se sont perdus de vue mais J. trouve le trésor de l′autre groupe.
J. et B. se trouvent mort de froid. Ils vont quand ils entendent un bruit de moteur. J. se met au milieu de la route, levant les bras. La voiture s′arrête. b. se jette à terre. Les soldats Allemands pointent leur Mausers sur lui et rirent quand ils voient B.
Chapitre 30
lieu: dans la voiture allemande
La voiture rentre en ville. Un soldat demande J. oû le collège est.
Chapitre 31
lieu: au collège
Le père Hippolyte ouvre la porte. le père serre J. dans ses bras qui se fait à pleurer. Le père demande si les soldats veulent boire quelque chose de chaud.
A la fin le père Jean leurs dit d′aller à l′infirmerie.
Chapitre 32
lieu: a l′infirmerie
B. a une conversation avec Négus. J. parle avec F. qui a une lettre de leur mère. Il lui donne. L′infirmière arrive avec le badigeon (=Tinktur). Ciron prend le livre de J. et lui demande pourquoi cet livre est interdit.
Après la récréation est fini, les autres vont et J. donne une tartine de pâté à B. Mais il n′aime pas. Au fin J. dit B. qu′il sait bien que son vraie nom est Kippelstein. B. se jette sur lui.
Chapitre 33
lieu: aux lavabos
Les élèves sont en tenue du dimanche. J. est devant son miroir. Il se mouille les cheveux avec une touche de narcissme.
B. entre habille comme tous les jours. J. le demande, si il n′y a pas de visites.
Chapitre 34
lieu: au collège
Tous les professeurs et beaucoup de parents sont là. B., Négus et Dupré sont seuls. Le père Jean parle de l′arrogance et de la richesse matérielle qui corrompre avec les c_urs. Un homme quitte la chapelle.
Après, on a communion. Le père Jean donne la Sainte Hostie. Quand approche l′hostie de la bouche de B., il lui reconnaît et dépose l′hostie sur la langue de J. et continue.
Chapitre 35
lieu: devant la chapelle
Après la messe Mme Quentin discute avec le père Jean. Un groupe d′élèves simulie des combats de boxe. B. l′obverse. Ciron et Babinot viennent tourner autour B. ,,En garde B., en garde\", Babinot dit. Puis il reçoit un coup de pied à la hache (=Hüfte). Il se jette sur Babinot. Dans la mêlée, B. donne une manchette à J. qui lui fait un croche-pied. Puis B. et J. roulent sur le sol, se battent. La mère de J. cours et demande J. s′il est complètement fou. B. se met a rire, après J. rit et au fin, la mère rit aussi.
J. parle a l′oreille de sa mère.
Chapitre 36
lieu: au restaurant
F., J. sa mère et B. sont assis. Ils commande et Mme Quentin demande B. si ses parents ne sont pas venus. A une autre table un vieux monsieur demande son addition. Les maître parle avec lui très familier. Deux miliciens entrent le restaurant. Un de leur arrive au monsieur et demande les papiers. Il est un juif. Un vieux ivre (betrunken)officier allemande arrive et fait les miliciens à sortir. Au fin, la mère, J. et F. discutent sur les juifs.
Chapitre 37
Mme Quentin, F. et J. marchent coté à coté. La mère dit que B. est gentil mais qu′il ne parle pas beaucoup. La mère demande si B. n′est pas un crétin. Ils parlent quand on écoute une voix d′une fille. C′est l′amie de Joseph. Elle dit: \"Fiche-moi la paix.\" Les deux frères rirent.
F. dit que J. veut être prêtre. J. dit ce qu′il ne veut pas être prêtre, il veut être missionnaire au Congo. La mère ne déteste pas cette idée, mais elle veut mieux que J. fait le polytechnique. A la fin ils voient la famille de Laviron et F. voit sa s_ur qui il aime.
Chapitre 38
lieu: dans le cour de collège
B. et quelques garçons descendent la maison. B. voit J. qui porte trois pots de confiture dans les bras. Il.a l′air sinistre (=trübsinnige Stimmung). Alors B. dit qu′il va revoir sa mère bientôt.
Chapitre 39
lieu: dans la salle à manger
Après le dîner, les élèves et les professeurs poussent les tables du réfectoire, installent un écran pour la séance de cinéma. B. et J. sont encore attablés et mangent de la confiture.
M. Florent et Mlle Davenne accordent et le film se met à cliqueter. B. et J. sont assis côte à côte. Joseph et le père Jean qui sont aussi côte à côte rirent plus.
Chapitre 40
lieu: dans la dortoir
Le jour commence à peine à se lever. Les énfants sont écrases dans leur lit. Sinon Julien, qui dit ,,merde\". Il rabat les couvertures et, avec sa serviette de toilette, éponge la tache humide. Cette fois Sagard lui observe.
Quand Moreau entre la salle et allume, Sagard attrape la serviette de Julien et crie: ,,Quentin pisse au lit\". J. se jette sur lui et Bonnet lui aide.
Chapitre 41
lieu: aux lavabos
Julien dit à Bonnet ce qu′il est tousjours le même. Il rêve et puis il pisse au lit.
Chapitre 42
lieu: dans la cour de récréation.
Les énfants jouent quand on entend Mme Perrin qui court après Joseph. Elle dit qu′il a volé de saindoux (=Schweineschmalz) pour le vendre. Joseph est terrifié mais il répond ce qu′il n′est pas vrai. Le père Michel arrive et les prend à la cuisine. Le père Jean observe la scène de la fenêtre de son bureau.
Chapitre 43
lieu: dans la bureau du père Jean
Sept élèves sont alignés. Le père dit l′histoire de Joseph. Il a des confitures. Il insulte les élèves parce qu′ils ont fait de la marché noir. Julien et François protestent mais sans succès.
Le père leur dit d′aller aux classes. Dans le couloir ils trouvent Joseph qui pleure comme un gosse parce qu′il a été mis à pied.
Chapitre 44
lieu: dans la chapelle
Bonnet ouvre la porte de la chapelle. Julien et les autres quatrièmes entrent. Le père Michel entre aussi et demande qu′est-ce qu′ils font. Boulanger dit qu′on a chorale mais il et Babinot doient aider le père. Mlle Davenne arrive et dit oû Bonnet est et Julien leur réponde, ce qu′il est à l′infirmerie.
Chapitre 45
lieu: dans la salle de musique
Bonnet montre Julien comme jouer un boogie-woogie. Julien essaie mais il est interrompu par le bruit d′une alerte. Ils se jettent dernier le piano quand Moreau entre la salle.
Plus tard. Ils jouent un boogie-woogie à quatre mains.
Chapitre 46
lieu: dans la salle de musique
Le collège semble abandonne. Bonnet dit, qu′il espère que les Américains se décides à débarquer.
A la fin, Julien demande Bonnet, si il a peur et il répond qu′il a peur tout le temps.
Chapitre 47
Lieu : dans la cuisine
B. et J. profitent de l′alerte pour se faire rôtir châtaignes. Ils parlent et J. dit ce qu′il n′a pas vu son père presque longtemps.
Tout à coup Julien prend le bras de Bonnet et tous deux s′accroupissent sous la grande table. Joseph entre la cuisine. Il ouvre un tiroir et fouille. Julien demande qu′est-ce qu′il fait, et Joseph répond, qu′il a oublié des affaires.
Chapitre 48
Lieu: dans le dortoir
Tous sont endormis. Mais au fond du dortoir, Bonnet est allongé est écoute Julien qui lit un passage des Mille et Une Nuits.
A la fin, Julien lève la tête. Julien s′est endormi.
Chapitre 49
Lieu : dans la salle de classe
M. Guibourg donne des nouvelles de la guerre. Un élève pète (pupst). C′est Sagard. Il demand ele professeur, si il peut sortir. IL peut mais en ce moment on entend une voix allemande. Un soldat entre. Un autre homme entre. C′est « monsieur muller, Gestapo de Melun ». Il demande les pupitres s′il y a un qui s′apelle Kippelstein.
Il va arracher les drapeaucx de la carte. Il tourne le dos vers bonnet. Muller se retourne et intercepte le regard. Bonnet, le soldat et muller sortent la scène.
A la fin, Muller dit que le colège est fermé et que les élèves ont deux heures pour faire leurs bagages.
Le père Michel dit, que Bonnet, dupré et Lafarge sont israélites et que le père Jean les avait recueillis au collège, parce que leur vie a été en danger. Il dit aussi, qu′ils ont été dénocé.
Chapitre 50
Lieu : dans le dortoir
Les élèves font leur bagages, très vite et sans un mot. Babinot arrive à Julien et lui dit qu′ils n′ont pas trouvé Négus et Moreau. Le père Hippolyte arrive et dit que les élèves qui sont prêts doient aller au réfectoire.
Julien est seul parce que les autres sont allés et il lui faut faire le sac de Laviron quand Bonnet arrive. Le soldat dit « vite » et allume une cigarette. Bonnet et Julien échangent des livres.
Bonnet ferme sa valise et se hâte (beeilt sich) de rojoindre le soldat.
Chapitre 51
Lieu : dans l′infirmérie
Julien entre avec le sac de Laviron.On peut voir une petite porte où Moreau et Laviron se fachent.
Les allemands arrivent. Ils ne trouvent pas quelque sans Julien. Alors ils disent « baisse ta culotte (Hosen runter !) »
Le soldat va vers négus et tire la couverture.
Négus et les allemands sortent. Après, Moreau se glisse sur le toit.
Chapitre 52
Lieu : dans le cour
Julien est dans le cour. Il voit Moreau. Après, il voit Joseph et un allemande. Joseph et Julien parlent.
C′est claire que Joseph a été dénoncé les énfants.
Joseph dit pourqui il a fait ça (« Mme Perrin a volé plus que moi », « fais pas le cure (Pfarrer) »)
Chapitre 53
Lieu : dans le cour
Muller et quelques feldgendames sortent dü bâtiment. Les élèves sont en train. Muller arrive devant un et demande son nom.
Muller parle des choses de la discipline quand le père arrive. Il dit » Au revoir les énfants, à bientôt » tous les élèves répondent « Au revoir mon père »
Un soldat pousse brutalement le père dans la rue. Bonnet, bousculé, se retourne un instant dans l′encadrure de la porte. Son regard cherche Julien qui fait un signe de la main. Après, Bonnet disparâit.
(fin)
texte: ,,Qu′est-ce que c′est un ami?\"
A mon avis, un ami m′aide on a besoin. On peut aussi parler avec lui et quand on a un problème, il veut dire un conseil. Au temps libre on joue avec lui et on a les mêmes intéresses. A mon cas ces sont des intéresses comme jouer au foot, jouer avec l′ordinateur et voir des vidéos spécialement des DVD′s.
texte: ,,Sont Bonnet et Julien des amis?\"
Au début ils ne sont pas. par exemple nous avons lu cette scène dans la cave pendant l′alerte. Julien a lu Les trois Musquetaires et Bonnet a voulu Julien de lève sa lampe un peu bien qu′il peut aussi lire. Mais Julien n′a pas voulu.
Mais nous avons aussi lu d′autres scènes et je trouve qu′ils sont des amis au fin. Quand ils sont perdu à la forêt et aussi quand la mère de Julien arrive, parce que Julien a communion. Ils mangent et Julien dit que Bonnet est son ami.
Aussi il y a la scène oû Julien aide Bonnet quand il battre contre des autres jeunes. Et enfin Julien est seul qui ne déteste pas les juifs. Julien sait aussi que Bonnet s′appelle Kippelstein et qu′il est juif. Julien demande Bonnet s′il n′a pas peur d′être trahir et Bonnet réponde qu′il a peur tout le temps.
texte: ,,impressions du filme\" (corrigé par Mme Piroddi)
A mon avis c′est un très bon filme. L′histoire est nouvelle, parce qu′il n′y a pas beaucoup des films de l′époque de la seconde guerre mondiale. Il se passe entre élèves. Je trouve que Luis Malle a été au collège quand cette histoire s′est passé.
Malheureusement on ne peut pas acheter ce filme en allemande, parce qu′il y a trop de jeunes (spécialement en Allemande) qui adorent les nazis et A. Hitler. Alors à mon avis, il faut traduire ce film en allemand pour le montre aux collèges allemands.
A mon avis les personnes en film parlent un peu vite. Mais quand on a lu le texte on peut comprendre le plupart.
En générale je trouve ce livre le meilleure que nous avons lu. (bien)
Texte : quelques informations sur Luis Malle
Malle wurde am 30. Oktober 1932 in Thuméries (Departement Nord) geboren. Er studierte an der IDHEC (Institut des Hautes Études Cinématographiques) und begann seine Laufbahn als Regieassistent von Jacques Cousteau. Dessen unter Malles Mitarbeit entstandener Dokumentarfilm über die Erforschung der Tiefsee, Le monde du silence (1955; Die schweigende Welt), wurde mit der Goldenen Palme der Filmfestspiele von Cannes und mit einem Oscar ausgezeichnet. Auch sein Spielfilmdebüt, der Psychothriller L′ascenseur pour l′échafaud (1957; Fahrstuhl zum Schafott), wurde sogleich ein internationaler Erfolg und wies ihn als eine der hoffnungsvollsten Persönlichkeiten des jungen französischen Kinos aus. Malle stimmte prinzipiell mit den Zielsetzungen der seinerzeit aktuellen, von Regisseuren wie Jean-Luc Godard dominierten Nouvelle Vague überein, entwickelte jedoch einen individuellen Stil, gründete eine eigene Produktionsgesellschaft und fand in der erotisch-sensiblen Jeanne Moreau eine kongeniale Darstellerin. Ihre hervorragende Leistung in der weiblichen Hauptrolle des ersten Filmes konnte sie bei Les amants (1958; Die Liebenden), einer provokanten, motivisch und atmosphärisch das Märchen streifenden Liebesgeschichte, noch übertreffen.
Eine auch formal bemerkenswerte Kritik an den Lebensumständen der Filmstars und den Vermarktungsmechanismen der Branche folgte 1961 mit La vie privée (Privatleben). Die junge Brigitte Bardot, eine der populärsten Darstellerinnen der Nouvelle Vague, war dort an der Seite von Marcello Mastroianni in einer ihrer besten Rollen zu sehen. Das in La vie privée angeschnittene Thema der Isolation des Individuums in der modernen bürgerlichen Gesellschaft beleuchtete Le feu follet (1963; Das Irrlicht) aus der Perspektive eines alkoholabhängigen Intellektuellen (mit Maurice Ronet in der Hauptrolle). Malles gewagtestes Experiment war Zazie (1960), eine brillante filmische Adaption des gleichnamigen Romans von Raymond Queneau, für den er eine hektisch-skurrile Bildsprache schuf, welche die Erzählweise des Comicstrips auf die Leinwand übertrug. Auf ein breiteres Publikum zugeschnitten waren die Western-Parodie ¡Viva María! (1965; Viva Maria!, mit Brigitte Bardot und Jeanne Moreau), das sarkastische Porträt eines Gentleman-Verbrechers, Le voleur (1966; Der Dieb von Paris, mit Jean-Paul Belmondo), und der subtile ErotikfilmLe souffle au c_ur (1971; Herzflimmern). Eine kritische, von moralischen Wertungen jedoch freie Bestandsaufnahme des Lebens im provinziellen Frankreich unter der Vichy-Regierung stellte Malle in Lacombe Lucien (1973) anhand eines Einzelschicksals dar und schilderte in Black Moon (1975), facettenreich mit phantastisch-mythologischen und tiefenpsychologischen Elementen durchsetzt, den Reifeprozess eines jungen Mädchens.
1977 bis 1986 arbeitete Malle in den USA und konnte dort seine Karriere mit Werken unterschiedlichster Provenienz fortsetzen. Den Anfang machte Pretty Baby (1978), eine nach authentischen Quellen gedrehte Prostituierten-Vita mit Brooke Shields, die das Halbweltmilieu im New Orleans des 19. Jahrhunderts einfühlsam und effektreich widerspiegelte. Mit Atlantic City (1980; Atlantic City, USA) gelang Malle ein Kriminal- und Liebesfilm, der alte Kinomythen in der Kulisse eines heruntergekommenen Seebades mit der Banalität der zeitgenössischen Konsumwelt ironisch in Beziehung setzte (mit Burt Lancaster, Michel Piccoli und Susan Sarandon). Der Dialogfilm My Dinner with André (1981; Mein Essen mit André) gab in bewusst spröder, die Geduld des Publikums extrem fordernder Manier das um existenzielle und künstlerische Fragen kreisende Gespräch zweier Freunde in einem New Yorker Restaurant wieder. Das Werk avancierte zwar zum Kultfilm vor allem in amerikanischen Intellektuellenkreisen, wurde jedoch insgesamt ein finanzieller Misserfolg.
Au revoir les enfants (1987; Auf Wiedersehen, Kinder) knüpfte an das in Lacombe Lucien behandelte Sujet des Vorkriegsfrankreich an, hier anhand der Geschichte einer Freundschaft zwischen einem zwölfjährigen Internatsschüler und einem jüdischen Mitschüler, der am Ende von der Gestapo verhaftet wird. Dieser Film wurde in Venedig mit dem Goldenen Löwen und in Cannes mit dem Kritikerpreis ausgezeichnet. Malles psychologische Meisterschaft trat auch in Milou en mai (1989; Eine Komödie im Mai, mit Michel Piccoli in der Hauptrolle) zutage, welche die Unruhen im Jahr 1968 aus der distanzierten Sicht der südfranzösischen Provinz gelassen-ironisch reflektierte und zugleich die Beziehungen der anlässlich des Todes der Mutter vereinten Familie kritisch-respektvoll aufzeigte. Der hier spürbare resignative Ton des Spätwerkes war mittelbar auch in Damage (1992; Verhängnis) spürbar, der Geschichte einer leidenschaftlichen, ruinösen Liebesbeziehung zwischen einem älteren englischen Politiker und der Freundin seines Sohnes (mit Jeremy Irons und Juliette Binoche, nach dem Roman von Josephine Hart). Ein eher zwiespältiges Echo löste sein um das Thema der Künstlermentalität kreisendes Werk Vanya, 42nd Street (1994; Vanya - 42. Straße) aus. Malle starb während der Dreharbeiten zu seinem letzten Film am 23. Novemer 1995 in Beverly Hills (Kalifornien). Mit seinem Gesamtwerk fügt sich Louis Malle in die Reihe der bedeutendsten französischen Filmregisseure ein.
1. Introduction
Dans ma dissertation pour la matière Français je me suis occupé du scénario « Au revoir, les enfants » de Louis Malle sous l′aspect du comportement de Julien Quentin. Je me suis décidé à dépeindre et analyser le comportement du protagoniste par rapport aux personnages importants au moyen de quelques scènes caractéristiques.
Comme l′auteur assimile dans le scénario ses expériences personnelles pendant son enfance, qu′il passait dans un internat à l′époque de l′occupation nazie de la France, on peut donc établir des parallèles entre sa biographie et le contenu de son scénario.
Malle : « En 1944, j′avais onze ans et étais pensionnaire dans un collège catholique près de Fontainebleau. L′un de mes camarades, arrivé au début de l′année m′intriguait beaucoup. Il était différent, secret. J′ai commencé à le connaître, à l′aimer quand, un matin, notre petit monde s′est écroulé. (...) A travers le regard de ce petit garçon qui me ressemble, j′ai essayé de retrouver cette première amitié, la plus forte, brusquement détruite... »1
2. Biographie de Louis Malle
Louis Malle, le troisième de sept enfants d′une des plus riches familles en France, est né le 30 octobre1932 à Thumeries. Son père était directeur d′une usine de sucre, tandis que sa mère descendait d′une des plus grandes familles industrielles, les Béghin.
Il était en classe dans un internat catholique à Fontainebleau. C′était là, où il passait les années noires pendant l′occupation de la France par les Nazis.
Après son baccalauréat, Louis Malle a commencé ses études politiques à la Sorbonne à Paris, mais il les a interrompu pour étudier à l′I.D.H.E.C. (Institut des Hautes Etudes Cinématographiques). Cependant, il a arrêté ses études sans examen et il a commencé à assister le plongeur sous-marine Jean-Yves Cousteau en tournant la documentation « Le monde du silence ».
Un an plus tard, à l′âge de 24 ans, Louis Malle a commencé son premier film « L′Ascenseur pour l′échafaud » comme metteur en scène . Bien que son début a causé un scandale, le jeune cinéaste devenait célèbre.
Il avait la réputation d′être l′un des cinéastes de « la Nouvelle Vague ». Pourtant, il se différenciait des autres dans ce groupement. Tandis qu′ils avaient le savoir théorétique, Louis Malle était plus pratique. C′était lui qui était l′homme du métier.
Pendant sa carrière, il produisait une grande variété de films très différents. C′est à dire, qu′il était un metteur en scène avec de multiples talents inclassables.
Il y a beaucoup d′autres films excellents de Louis Malle comme « Les Amants » (1958) et « Zazie dans le métro » (1960), mais il a réussi aussi aux documentations comme « L′Inde fantôme » (1967).
Ensuite, il est parti aux Etats Unis , ce que signifiait un bouleversement concernant ses films, par exemple « Pretty Baby » (1977).
Dans ses films « Lucien Lacombe » (1974) et « Au revoir, les enfants » (1987) il traite à fond l′occupation allemande de la France pendant la Seconde Guerre mondiale.
Concernant sa vie familiale, Louis Malle a été marié avec Anne-Marie Deschodt et Alexandra Steward. Il avait trois enfants lesquels il dédiait « Au revoir, les enfants ».
Le 24 novembre 1995, Louis Malle meurt à Los Angeles à cause d′un cancer de lymphe.
3. Résumé d′ « Au revoir, les enfants »
Le scénario traite les années noires en France illustrées par l′exemple de l′amitié entre deux garçons influencés par leurs origines et expériences différentes.
Après les vacances d′hiver en 1944, Julien Quentin, un garçon de douze ans, part à contrec_ur pour son internat catholique près de Paris. L′adieu de sa mère, qui reste à la maison, lui fait beaucoup de peine. Mais à l′école, il y a un changement quand trois nouveaux élèves arrivent. Peu à peu, il se développe une amitié entre Julien et Jean Bonnet, l′un des nouveaux camarades. Puis, Julien découvre le secret de son ami: Il est juif et son vrai nom est Jean Kippelstein. C′est pourquoi le proviseur, le Père Jean, cache Bonnet et deux autres garçons juifs des Allemands à l′internat. Ce secret renforce la relation des deux. Mais cette idylle trompeuse casse quand le marmiton Joseph reçoit son congé à cause des vols et du commerce clandestin tandis que les garçons qui ont profité de ses affaires sont punis faiblement. C′est ainsi qu′il se venge en trahissant aux Allemands que le Père Jean cachait des juifs et des réfracteurs à l′internat. Par conséquent, les Allemands ferment l′école et déportent les juifs, alors qu′ils arrêtent le Père Jean parce qu′il a coopéré avec la Résistance. Pendant toute sa vie, Julien est poursuit de cette expérience terrible.
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