La France est un membre important de l\'Union Européenne. Dans le Conseil de Ministres, c\'est là où sont prises les décisions les plus importantes concernant la politique de l\'UE, elle dispose 10 voix, tandis que un pays comme l\'Autriche n\'a que 4 voix. La France a aussi deux de vingt membres dans la commission européenne, le « gouvernement de l\'UE ».
Pour le moment, c\'est là France, qui tient la présidence de l\'UE. Les politiciens français, surtout le Premier ministre et Président Chirac, devraient jouer un rôle de médiateur dans la discussion sur la réforme des institutions européennes. Mais au lieu d\'agir comme un arbitre et de servir de médiateur entre les membres de l\'UE, le gouvernement français n\'a pas seulement brusqué les petits états, mais aussi les Allemands et les Anglais, lors d\'une conférence des chefs de gouvernements, qui a eu lieu à Biarritz en septembre.
La position française dans le discours de la réforme de l\'UE est telle : Le gouvernement veut forcer la position française dans l\'union. Il veut affaiblir la position de la commission et renforcer celle du conseil des ministres où la France dispose pour le moment dix voix. Si sa faisait comme le gouvernement français le souhait, les grands états auraient des voix en plus tandis que les petits états perdraient des voix - tout ça naturellement en proportion avec le nombre d\'habitants du pays (si on prend l\'exemple Autriche - Allemagne, l\'Allemagne aura \'à voix, car l\'Autriche a quatre => l\'Allemagne a 80 millions d\'habitants et l\'Autriche en a 8 millions).
A France veut accélérer l\'intégration européenne, mais depuis qu\'on a parlé d\'un « centre de gravitation autour de la France et de l\'Allemagne » le petits membres de l\'UE sont méfiants, parce qu\'il craignent que tout les décisions seront prises par ces deux pays.
_Ce n\'est pas du tout sur, que la réforme de l\'union sera décidée à la conférence de Nice en décembre, car les positions de différants états sont très séparées l\'un de l\'autre.
|