La découverte du premier est suivi par de nombreux cas de rats morts. Ils sortent de leurs trous et mourraient en groupe, près des humains. Les cadavres trouvés se multiples et au sommet on comptait huit mille rats dans un jour. Avant la mort, ces bêtes essayent à rechercher l'équilibre, mais enfin ils tombent par terre avec un petit cri en rejetant du sang par les babines entrouvertes. Ces rats ont la peste et deviennent véhicules de l'infection. La première victime de la peste est le concierge de Rieux, le vieux M. Michel. Au début il se sentait mal est se frottait le cou d'un geste machinal. Ensuite, des douleurs vives au cou, aux aisselles et aux aines l'ont forcé de la tête penché , bras et jambes écartés, dans une attitude de pantin. Il a des grosseurs sur tout son corps et une sorte de noud de bois s'est formée au cou. Torturé par la douleur au cou et ventre, M. Michel vomisse avec de grands arrachements. Sa température est a trente-neuf, les ganglions du cou et les membres avaient gonflé et deux taches noirâtre s'élargissent à son flanc. Il se plaigne d'une douleur intérieur qui brûle. Le prochain matin la température est tombée légèrement, mais à midi, la fièvre est remontée d'un seul coup. Et au chemin à l'hôpital le concierge meurt
La deuxième victime de la peste est Camps qui avait les même symptômes que m. Michel. On adéjà citer une dizaine de cas de cette fièvre, dont la plupart était mortels. La peste tue vite est précise. Certains gens réalisent qu'il s'agit d'une véritable épidémie. Par contre Rieux a démasqué la peste et s'engage pour la lutte contre cette maladie. Les chiffres montent on compte déjà onze morts en quarante-huit heures et les foyers d'infection sont en extension croissante.
Une commission sanitaire est créée par Rieux, mais sans cesse les chiffres des infections sont en train de monter. En quatre jours la fièvre a fait quatre bonds :seize morts, vingt quatre, vingt-huite et trente deux. On a ouvert un hôpital auxiliaire. Le nombre de décès en une journée monte jusqu\'à quarante. Les cas de morts se baisse pendant quelque jours mais les infections de peste remonte comme une flèche.
Les portes de la ville furent fermées et les gens sont séparés de leurs proches et les moyens de communications sont suspendues ou interdite à cause du risque de l'infection. Le fléau a pris toute la ville comme prisonier.
La troisième semaine de la peste provoque trois cent morts et la cinquième trois cent cinquante.
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